Notre histoire

La Normande est née d’une envie de valoriser le prix du lait et surtout, sa qualité. Conscients de cette dernière, nous avons décidé en 2013 de transformer une partie de notre production laitière en crèmes glacées. Cette idée se concrétisera par la transformation d’une étable en laboratoire aux normes sanitaires et la création d’un point de vente à la ferme avec pour objectif principal de rapprocher le consommateur de l’agriculteur.

Pour concevoir des recettes gourmandes et maîtriser les spécificités de ce produit innovant, nous avons décidé de nous former aux côtés de monsieur Gérard Taurin, meilleur ouvrier de France et champion du Monde glacier en 2003 à Turin. 

 

Chemical-Free

Nos glaces sont faites avec passion et directement à la ferme

Fresh & Healthy

Nos sorbets contiennent 60% de fruits produits localement.

100% Organic

Nos glaces sont garanties sans OGM et colorants chimiques

Nos glaces sont garanties sans 

Nos glaces sont garanties sans OGM et colorants chimiques

Nos sorbets contiennent à 60% de fruits produits localement.

Pourquoi choisir La Normande ?

Nos glaces sont conçues grâce au lait et à la crème de nos 45 vaches normandes qui sont au champ une bonne partie de l’année. Nos vaches mangent surtout de l’herbe, ce qui nous permet d’avoir un lait et une crème de qualité, riches en oméga 3 ! 

Nous choisissons nos ingrédients avec soin et nous avons à cœur de chercher des recettes toujours plus originales ! Nos glaces tiennent donc leur bon goût des produits naturels qui les composent et non de rehausseurs de goût ou de conservateurs. Pour certains de nos parfums, comme le yaourt ou le caramel, nous produisons le produit brut nous-mêmes et nous le transformons par la suite en glaces.

Pour les sorbets tels que les fraises, nous essayons au maximum de nous approvisionner  à proximité de chez nous. Les pommes viennent de notre verger et la menthe vient de notre jardin.

Contrairement aux glaces industrielles, La Normande possède une densité de matière nettement plus élevée et donc, une quantité d’air dans la glace plus faible.

Anne-Marie Rauline